Sur le blanc virginal des murs muets
La force engloutie de ta race m'immole
La coupe est pleine aux bords de tes fesses miraculeuses
Je ne pèse pas lourd sous les balancements de tes cuisses
Je ne pèse pas lourd sous les balancements de tes cuisses
Et tu transpires les flots de silice qui t'accompagnent
Venu de si loin au fond des soutes en rage
Novembre 2012