Les coutures craquent
Les épaules s'affaissent aussitôt la porte des splendeurs franchie
Les balbutiements de la séduction se noient à l'aurore de mes muqueuses
Pièce à prendre, muse d'un complot ourdi dans des jargons vieux comme le monde
Je n'y songerai plus, au parfum des éclats de verre
Je n'y songerai plus, au parfum des éclats de verre
Ni à la grande sérénité des possibles
Les manches s'agitent dans l'air enfumé
Elles baignent dans la sueur des fins de banquets
Où se fredonnent des hymnes pimpants
Table servie pour qui sait y faire
Table servie pour qui sait y faire
Et les troncs des admonestations sciés à la base
Tombés sous le vertige pourtant bien sot
Des candeurs médusées
Août 2012